#78 – Le voyage d’Antoine de Saint-Exupéry

Rues de Lyon N°78 : Le voyage d’Antoine de Saint-Exupéry
Auteurs du numéro :
Léa Le Marec
Date de sortie : Juin 2021
ISSN : 2428 – 744X
Nombre de pages : 12 pages
Prix de vente : 3€
Format : A4

Résumé :

Le voyage d’Antoine de Saint-Exupéry, ou comment l’une des personnalité notable de Lyon, a pris son envol pour faire le tour du monde et qui en a nourri ses récits. En tant que pilote d’avion pour l’aérospostal, reporter et pour la guerre, avant de disparaître mystérieusement lors d’une mission de reconnaissance vers sa région natale.

LEA LE MAREC

Récemment diplômée de l’École Émile Cohl, la jeune dessinatrice se lance dans le monde de l’édition cette année avec cette première bd. Elle donne aussi des cours d’arts plastiques en périscolaire aux enfants et est bénévole pour l’Épicerie Séquentielle. Tous ces échanges nourrissent sa création pour essayer d’imaginer des histoires fantastiques inspirées de valeurs sociales et écologiques, qui lui tiennent à cœur.

Merci à l’Épicerie Séquentielle et plus particulièrement à Anjale et Léah Touitou pour leur accompagnement !

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3 réponses

  1. ACHILLE Dominique dit :

    Bonjour,
    Saint-Exupéry est un patronyme. A ce titre il ne doit pas être abrégé. Or la couverture du N° 78 “le voyage de St-Exupéry” a abrégé le vocable “Saint” en “St”. Sauf erreur de ma part, cela est incorrect.
    Certes, on dit facilement “Sarko” pour “Sarkozy”, par exemple, mais je ne pense pas que c’était l’objectif de la personne qui a fait la couverture du N° 78.
    Cordialement,

    • Arthur du Coteau dit :

      Bonjour, merci pour l’information, je transmets à notre groupe relecture pour qu’ils regardent cela. Nous pourrons sans doute le modifier en cas de réimpression.
      Belle journée !

    • Grug dit :

      Bonjour, effectivement, “idéalement, le mot Saint ne s’abrège ni dans un toponyme ni dans un nom de famille”.
      On note cependant une tolérance bien compréhensible pour certains hameaux sur cartes routières imprimées, ainsi qu’un emploi admis dans les calendriers. Certaines Agglomérations semblent aussi s’affranchir ponctuellement de cet usage afin de créer des symboles graphiques.

      Mais vous avez tout à fait raison, cela est intolérable sur la couverture d’un Rues de Lyon, et dès la forfaiture découverte, le maquettiste responsable de cette idée subversive a été condamné à une juste peine. Trois ans après les faits, certains au sein de notre association ne sont toujours pas prêts à lui accorder le pardon.

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